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Mieux vaut savoir d’où l’on vient pour ne pas se perdre !
 
Connaître l’histoire de son pays, de son territoire, de son village est toujours un enrichissement. On y découvre des personnages merveilleux ou odieux, parfois des anecdotes macabres, des historiettes tristes, des moments de joies, des souffrances, le plus souvent la vie d’hier simple et besogneuse de nos aînés, rythmée par les saisons .
Le travail des champs, les ateliers au cœur de nos campagnes, un monde d’avant si différent… voilà ce que peut nous enseigner une plongée dans le passé de nos communes.
 
Certains passionnés s’y consacrent et nous ramènent plusieurs décennies et parfois même plusieurs siècles en arrière grâce à leurs recherches. C’est le cas de Frédéric Baumer qui réalise un travail remarquable au service de la mémoire du Crocq.
 
L’Histoire est ce l’on appelle une science humaine. C’est à dire qu’elle s’intéresse aux hommes, à la vie. Qu’ont-ils faits ? Pourquoi ?
Le temps de la lecture d’un article, on est projeté dans une autre époque. On s’évade. On apprend. L’histoire peut s’avérer une nostalgie. Elle doit aussi être un flambeau, un guide. Pour ne pas refaire demain les erreurs d’hier. Pour bâtir un futur meilleur.
 
Aimons donc l’histoire ; celle du Crocq, de l’Oise, de la France. Elle sera toujours une compagne précieuse.